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Usine de Rioupéroux
:: Données sociales > Conflits sociaux
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Nom du site :
Usine de Rioupéroux
Conflits sociaux
Date
Nombre de jours
Commentaires
mai 1968
18
Toutes les usines d’aluminium de la Compagnie Pechiney sont en grève entre le 20 mai et le 7 juin 1968. À l’usine de Rioupéroux, la grève débute le 23, en concomitance avec les autres usines présentes dans la vallée. Le mouvement se poursuit pour les ouvriers de l’usine de Rioupéroux jusqu’à la réunion paritaire au sein de la Compagnie Pechiney qui aboutit à l’accord du 7 juin 1968. Deux jours plus tard les ouvriers reprennent le travail.
Cette réunion nationale permet la signature d’un accord qui prévoit une réduction du temps de travail de 1h30, une augmentation des salaires de 4 % et la création d’une section syndicale d’entreprise qui incarne la lutte de mai 1968 au sein de la Compagnie Pechiney. Les ouvriers contestent les pouvoirs de la direction et ils aspirent à participer à l’élaboration des décisions et à leurs applications.
Toutes les usines d’aluminium de la Compagnie Pechiney sont en grève entre le 20 mai et le 7 juin 1968. À l’usine de Rioupéroux, la grève débute le 23, en concomitance avec les autres usines présentes dans la vallée. Le ...
18 mars 1948
1
Cette grève relance les discussions sur les zones de salaire et les systèmes de classification. Les ouvriers demandent une hausse de 50 % des salaires. Cette tentative se solde par un échec puisque la direction de l’usine se refuse à toute discussion.
Cette grève relance les discussions sur les zones de salaire et les systèmes de classification. Les ouvriers demandent une hausse de 50 % des salaires. Cette tentative se solde par un échec puisque la direction de l’usine se refuse à toute ...
juin 1936
16
L’entente tacite entre les directions d’usines dans la vallée de la Romanche pour coordonner les avancées sociales est déséquilibrée par l’arrivée de la Compagnie des produits chimiques et électrométallurgiques Alais, Froges et Camargue (AFC), mais aussi par la prise de conscience politique et la volonté participative des ouvriers.
Dans le contexte des grèves succédant aux accords de Matignon du 7 juin 1936, de toutes les usines appartenant à AFC, c’est l’usine de Rioupéroux qui s’engage le plus longuement dans le mouvement. Les ouvriers occupent l’usine pendant plus de deux semaines. La proximité du groupe de la Confédération générale du travail (CGT) de Grenoble et la convergence des revendications des usines de Livet-et-Gavet explique en partie la longueur et la ténacité du mouvement. Les ouvriers demandent une hausse des salaires et l’idée d’une reconnaissance du métier s’amorce avec les premières discussions sur les systèmes de classification.
La grève éclate le 20 juin et le 21, les ouvriers affirment leur autonomie et décrètent l’occupation de l’usine. Les cuves fonctionnent au ralenti mais elles ne sont pas arrêtées. Le 3 juillet, les grévistes menacent d’arrêter les cuves. Les pouvoirs publics interviennent par l’intermédiaire du préfet qui convoque le même jour une réunion avec les syndicats (CGT-CFDT) et la direction de l’usine. Un accord est signé le matin suivant mettant fin à la grève. Aux avancées obtenues lors des accords de Matignon s’ajoute une forte hausse des salaires.
L’entente tacite entre les directions d’usines dans la vallée de la Romanche pour coordonner les avancées sociales est déséquilibrée par l’arrivée de la Compagnie des produits chimiques et électrométallurgiques ...
20/06/1919
1
L’usine de Rioupéroux participe au mouvement de grève nationale de 1919. Le cahier de revendication des syndicats est similaire à celui des usines de la vallée de la Maurienne. Une hausse des salaires pour accompagner la loi sur la journée de travail de 8 heures. Au terme d’une journée de grève, les ouvriers parviennent à un accord avec la direction. Les salaires sont légèrement augmentés.
Toutes les usines installées sur la commune de Livet-et-Gavet prennent part au mouvement et obtiennent les mêmes résultats.
L’usine de Rioupéroux participe au mouvement de grève nationale de 1919. Le cahier de revendication des syndicats est similaire à celui des usines de la vallée de la Maurienne. Une hausse des salaires pour accompagner la loi sur la journée de travail de 8 ...
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Beyrède
Calypso
Chedde
Froges
La Praz
La Saussaz
Les Clavaux
L'Argentière
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Venthon
Notice n° : 42
par : Piquet, Jenny
(Institut pour l'histoire de l'aluminium)
Mise à jour : 2016-11-30